Je suis Paige Marie Banks, et j'ai 18 ans. Vous ne me connaissez sûrement pas, et pour cause je suis une personne normale et pas célèbre. Je suis une fille sans histoire, ma vie est monotone et réglé comme du papier à musique. Seulement, deux personnes vont rentrer dans ma vie pour tout chambouler. Et rien ne sera épargner.
Tout à commencer il y a six mois. Je m'en souviens comme si c'étais hier. Nous étions un beau samedi de juin, c'étais le premier jour des grandes vacances. J'étais assise sur les marches du perron de mon appartement mitoyen, une cigarette à la main. Le second appartement était vide, mais Pierre, le propriétaire m'avais dit que mon nouveau voisin allait arrivé dans quelques jours. Un homme aux gros bras s'approcha.
-Excusez-moi mademoiselle, le 11, jackson street, c'est bien ici ?Dit ce dernier.
-Oui c'est ici.
-Merci. Répondit l'armoire à glace.
Comme il fit un signe au camion qui arrivait, je me levais pour laisser le passage. Une voiture noire se gara devant l'appartement pendant que je regagnais mon appartement. J'alla ouvrir les fenètres pour aérer et je vis les meubles transportés par l'armoire à glace une et deux rentrer dans le hall. Il était 10h30 quand les déménageurs repartirent. Un jeune homme rentra dans le hall avec des cartons pleins les bras. La voiture noire garé devant le perron était pleine à craquer. Dans un élan de gentilesse, je décida d'aller donner un coup de main. Quand j'ouvris la porte je vis une montagne de cartons et d'affaires dans le couloir et au moins autant dans l'appartement dont la porte était ouverte.
-Salut
-Salut, moi c'est Paige. J'habite là. Dis-je en désignant la porte de mon appart'.
-Zayn. Je suis ton nouveau voisin. Sourit-il.
-Un coup de main ?
-Je dirais pas non, merci. Il posa ses cartons sur les autres et m'emena à l'interieur.
Il m'expliqua que sur chaque carton étais marqué où il allais. Je n'avais qu'a mettre les cartons dans la bonne pièce, pendant qu'il amènerais les cartons. Il était 12h30, nous avions fini de décharger les cartons et les mettre au bon endroit quand un bruit se fit entendre. Je regarda Zayn qui pouffa de rire et m'entraina dans son rire. Une fois après avoir reprit nos esprits, Zayn se leva.
-Excuse-moi, c'était mon ventre. J'ai hyper faim.
-Oh, moi aussi.
Comme son frigo étais vide, je l'invita a manger a la maison. Il ne restait que des pâtes, mais il me dit que rien ne lui ferait plus plaisir qu'un bon plat de pâtes. Nous décidions d'aller remplir nos frigos ensemble après manger, car il ne connaissait pas le quartier. Nous avions beaucoup discutés toute l'après-midi, et j'ai appris beaucoup de chose sur lui, en autre qu'il est pakistanais, donc musulman. Je sais aussi que nous avons plein de points communs, en plus de l'état de nos frigos. Nous irons dans le même établissement à la rentrée, nous sommes passionnés par la photographie, nous adorons le printemps, et le pays de nos rêves est la France. Quand nous sommes rentrés du supermarché, je lui avais proposé de finir de l'aider à emménager mais il a refusé en disant que j'avais suffisament de choses pour lui. Je suis alors rentrer chercher des cigarettes et suis partie me promener vers Richards Avenue. J'alla m'assoir dans l'herbe pour fumer, pendant que je regardais les gens vivre. Des enfants faisaient du toboggan en riant, des couples se promenait dans la rue main dans la main, des hommes en costume, une malette à la main marchais attivement vers le métro, des femmes coquettes flanaient en regardant les vitrines des magasins de Richards Avenue. Un jeune homme s'approcha de moi.
-Euh, salut. J'ai vu que tu fumais, tu peux me passer ton feu s'il te plait ?
-Oui, bien sûr !
-Merci. Il alluma sa cigarette, et tira une bouffée. Il me sourit.
-Je peux ? Dit-il en désignant l'herbe à côté de moi.
-Assieds-toi.
-Merci. Ho, moi c'est Harold.
-Paige, enchantée.
-De même.
Nous discutions pendant quelques minutes, quand je reçu un message.
Tout à commencer il y a six mois. Je m'en souviens comme si c'étais hier. Nous étions un beau samedi de juin, c'étais le premier jour des grandes vacances. J'étais assise sur les marches du perron de mon appartement mitoyen, une cigarette à la main. Le second appartement était vide, mais Pierre, le propriétaire m'avais dit que mon nouveau voisin allait arrivé dans quelques jours. Un homme aux gros bras s'approcha.
-Excusez-moi mademoiselle, le 11, jackson street, c'est bien ici ?Dit ce dernier.
-Oui c'est ici.
-Merci. Répondit l'armoire à glace.
Comme il fit un signe au camion qui arrivait, je me levais pour laisser le passage. Une voiture noire se gara devant l'appartement pendant que je regagnais mon appartement. J'alla ouvrir les fenètres pour aérer et je vis les meubles transportés par l'armoire à glace une et deux rentrer dans le hall. Il était 10h30 quand les déménageurs repartirent. Un jeune homme rentra dans le hall avec des cartons pleins les bras. La voiture noire garé devant le perron était pleine à craquer. Dans un élan de gentilesse, je décida d'aller donner un coup de main. Quand j'ouvris la porte je vis une montagne de cartons et d'affaires dans le couloir et au moins autant dans l'appartement dont la porte était ouverte.
-Salut
-Salut, moi c'est Paige. J'habite là. Dis-je en désignant la porte de mon appart'.
-Zayn. Je suis ton nouveau voisin. Sourit-il.
-Un coup de main ?
-Je dirais pas non, merci. Il posa ses cartons sur les autres et m'emena à l'interieur.
Il m'expliqua que sur chaque carton étais marqué où il allais. Je n'avais qu'a mettre les cartons dans la bonne pièce, pendant qu'il amènerais les cartons. Il était 12h30, nous avions fini de décharger les cartons et les mettre au bon endroit quand un bruit se fit entendre. Je regarda Zayn qui pouffa de rire et m'entraina dans son rire. Une fois après avoir reprit nos esprits, Zayn se leva.
-Excuse-moi, c'était mon ventre. J'ai hyper faim.
-Oh, moi aussi.
Comme son frigo étais vide, je l'invita a manger a la maison. Il ne restait que des pâtes, mais il me dit que rien ne lui ferait plus plaisir qu'un bon plat de pâtes. Nous décidions d'aller remplir nos frigos ensemble après manger, car il ne connaissait pas le quartier. Nous avions beaucoup discutés toute l'après-midi, et j'ai appris beaucoup de chose sur lui, en autre qu'il est pakistanais, donc musulman. Je sais aussi que nous avons plein de points communs, en plus de l'état de nos frigos. Nous irons dans le même établissement à la rentrée, nous sommes passionnés par la photographie, nous adorons le printemps, et le pays de nos rêves est la France. Quand nous sommes rentrés du supermarché, je lui avais proposé de finir de l'aider à emménager mais il a refusé en disant que j'avais suffisament de choses pour lui. Je suis alors rentrer chercher des cigarettes et suis partie me promener vers Richards Avenue. J'alla m'assoir dans l'herbe pour fumer, pendant que je regardais les gens vivre. Des enfants faisaient du toboggan en riant, des couples se promenait dans la rue main dans la main, des hommes en costume, une malette à la main marchais attivement vers le métro, des femmes coquettes flanaient en regardant les vitrines des magasins de Richards Avenue. Un jeune homme s'approcha de moi.
-Euh, salut. J'ai vu que tu fumais, tu peux me passer ton feu s'il te plait ?
-Oui, bien sûr !
-Merci. Il alluma sa cigarette, et tira une bouffée. Il me sourit.
-Je peux ? Dit-il en désignant l'herbe à côté de moi.
-Assieds-toi.
-Merci. Ho, moi c'est Harold.
-Paige, enchantée.
-De même.
Nous discutions pendant quelques minutes, quand je reçu un message.
De:Zayn
À:Paige
Hey Paige ! Je te dois un repas, alors je t'invite au resto' demain soir. T'es obligé de dire oui. xx
À:Paige
Hey Paige ! Je te dois un repas, alors je t'invite au resto' demain soir. T'es obligé de dire oui. xx
Oh, qu'il est mignon. Par contre contrairement à ce qu'il dit, il me doit pas de repas, c'est normal de lui avoir fait à manger, j'allais pas le laisser mourir de faim ! Mais bon, il serait si déçu si je disais non...
-Tu fais quoi ce soir? Demanda mon nouvel ami, le bouclé.
-Rien de spécial, pourquoi ?
-Je me demandais si tu serais partant pour qu'on aille quelque part, ensemble.
-Bah ouais, pourquoi pas !
-Cool, je passe te prendre vers 21h ! Dit-il en se levant.
Nos échangions son numéro, lui donna mon adresse et nous nous séparions pour rentrer chacun chez soi. En arrivant devant le perron, je vis mon voisin a la fenètre de son salon, il m'aperçu et me fit un signe de la main, je lui fis un sourire et pénétra dans le hall. Comme il était déja 7h. J'alla manger devant la télé, puis partis me préparer. Quand Harold sonna à la porte, je finissais de m'habiller.
-Rentre, c'est ouvert. J'en ai pour deux minutes, assieds-toi !
-Ok ! Je descendis en enfilant ma seconde chaussure à talons.
-Bah alors ? T'avais oublier de te préparer ? Se moqua le bouclé
-Hé ! Mais non ! Je me suis juste...endormie après manger. J'en ai inondé ma salle de bains !
-T'es serieuse ? Ho, tu me vends du rêve ! Je t'adore déja !
-Hein ? Mais c'est pas drole !
-Bon aller raconte moi tout, comment t'as fais ça ? Dit le bouclé en s'en allant et me tirant par le poignet.
Nous montions dans sa voiture en se racontant un peu nos vies. Il se gara dans le centre-ville, et m'entraina devant un grand immeuble noir où trônait un simple enseigne aux néons blancs qui écrivait «Le Cube discothèque». Et je me rendis compte que nous étions au c½ur de Londres, dans le quartier le plus hupé et le plus riche de la ville.
-Tu fais quoi ce soir? Demanda mon nouvel ami, le bouclé.
-Rien de spécial, pourquoi ?
-Je me demandais si tu serais partant pour qu'on aille quelque part, ensemble.
-Bah ouais, pourquoi pas !
-Cool, je passe te prendre vers 21h ! Dit-il en se levant.
Nos échangions son numéro, lui donna mon adresse et nous nous séparions pour rentrer chacun chez soi. En arrivant devant le perron, je vis mon voisin a la fenètre de son salon, il m'aperçu et me fit un signe de la main, je lui fis un sourire et pénétra dans le hall. Comme il était déja 7h. J'alla manger devant la télé, puis partis me préparer. Quand Harold sonna à la porte, je finissais de m'habiller.
-Rentre, c'est ouvert. J'en ai pour deux minutes, assieds-toi !
-Ok ! Je descendis en enfilant ma seconde chaussure à talons.
-Bah alors ? T'avais oublier de te préparer ? Se moqua le bouclé
-Hé ! Mais non ! Je me suis juste...endormie après manger. J'en ai inondé ma salle de bains !
-T'es serieuse ? Ho, tu me vends du rêve ! Je t'adore déja !
-Hein ? Mais c'est pas drole !
-Bon aller raconte moi tout, comment t'as fais ça ? Dit le bouclé en s'en allant et me tirant par le poignet.
Nous montions dans sa voiture en se racontant un peu nos vies. Il se gara dans le centre-ville, et m'entraina devant un grand immeuble noir où trônait un simple enseigne aux néons blancs qui écrivait «Le Cube discothèque». Et je me rendis compte que nous étions au c½ur de Londres, dans le quartier le plus hupé et le plus riche de la ville.
-Ça te plais ?
-Mais t'es fou !
-Non, je viens souvent ici, et on s'y habitue très vite tu veras.
- "Tu veras". C'est-à-dire ? Tu compte m'emmener ici régulièrement ?
-Ben oui, tu vas te faire des relations, et devenir célébre tout en dansant et en te torchant.
-Je maintiens, tu es fou.
Comme nous nous avançions vers le vigile, un pointe de stress se pointa. Harold me serra la main pour me rassurer. Il me raconta que tout le monde allait m'adorer. N'étant pas convaincue, j'abandonna tout de même le débat avec lui. Je décida d'aller boire un verre au bar, quand un brun s'approcha de moi, un sourire étange aux lèvres. Il faisait cinq bon centimètres de plus que moi, avait les bras couverts de tatouages et arborait une moustache façon années 1970 qui se voulait ironique. Il ressemble à une version emo de super mario, songeais-je. Il pris le tabouret de bar à gauche du mien et me regarda d'air lubrique.
-Bonsoir mademoiselle. Que fait une jolie fille comme à un bar toute seule comme ça ?
-Et vous, que fais un mec comme vous à un bar seul comme ça ?
-J'aime les filles qui me résistent. Souffla-il de son haleine qui sentais le whisky et le tabac froid.
Je m'excusa inexstrémiste pour aller aux toilettes, mais quelqu'un m'attrapa l'épaule et me plaqua contre le mur qui menait aux toilettes. Je voulus m'enfuir mais il me bloquais de tout mouvement.
Il remonta un peu le bas de ma robe, puis pris mon genou droit d'une main et mon sein gauche d'une autre. Je sentie alors, à travers son jean, que ce monstre était en érection. Je ferma les yeix et les larmes coulèrent comme personne ne semblait avoir envie de m'aider. J'allais me faire violer par un monstre à moustache. Puis une porte claqua. Et une voix d'homme hurla. Le poids de super mario disparu et j'ouvris les yeux. Harold, tenait super mario par le col et lui hurlai dessus.
-Ne la touche plus, ne l'approche plus, ne la regarde plus, ne pense plus à elle, où je viendrais personnellement te casser la gueule ! T'a bien compris ?!
Le moustachu hocha la tête, tétaniser. Harold, le lacha. Mais au moment où ce monstre se retourna, le bouclé lui tapota l'épaule, quand super mario se re-retourna et Harold lui mis un gros coup de poing dans la mâchoire.
-Prends-ça comme un avertissement. Cracha-il.
Il ne pris par la main et m'entraina à l'exterieur, jusqu'a sa voiture. Il me ramena chez moi et m'accompagna jusqu'a ma chambre, puis il allait repartir.
-Attends ! Harold, reste. S'il te plait. J'ai besoin de toi. Reste.
-A une condition.
-Laquelle ?
-Apelle-moi Harry. Sourit le bouclé.
-D'accord. Harry.
Il vint s'alonger à côté de moi sur le lit. Nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre encore habillé de la veille.
-Ne la touche plus, ne l'approche plus, ne la regarde plus, ne pense plus à elle, où je viendrais personnellement te casser la gueule ! T'a bien compris ?!
Le moustachu hocha la tête, tétaniser. Harold, le lacha. Mais au moment où ce monstre se retourna, le bouclé lui tapota l'épaule, quand super mario se re-retourna et Harold lui mis un gros coup de poing dans la mâchoire.
-Prends-ça comme un avertissement. Cracha-il.
Il ne pris par la main et m'entraina à l'exterieur, jusqu'a sa voiture. Il me ramena chez moi et m'accompagna jusqu'a ma chambre, puis il allait repartir.
-Attends ! Harold, reste. S'il te plait. J'ai besoin de toi. Reste.
-A une condition.
-Laquelle ?
-Apelle-moi Harry. Sourit le bouclé.
-D'accord. Harry.
Il vint s'alonger à côté de moi sur le lit. Nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre encore habillé de la veille.
C'était une journée mouvementé, et je ne savais pas encore que mon quotidien y ressemblerais...
Trois semaines que j'ai rencontré les gars. Je me suis beaucoup rapproché d'eux. Hier soir Harold, enfin Harry, a débarqué chez moi un sac à la main, une larme au coin de l'½il. Il m'avais raconté que ses parents s'était disputé alors il était parti et étaut venu se réfugier ici. Nous nous sommes endormis enlacés sur le canapé, en pyjama. Ça n'avait poser aucun problème jusqu'au moment ou ma meilleure amie, Courtney, n'étais pas rentré chez moi à 8h, heure où nous dormions encore.
-Hé Paiiiiige ! T'es... Oh. Mon. Dieu. PAIGE !
-Hé Court' ! Arrête de crier bon sang !
Ses hurlements nous avait réveiller, Harry et Courtney se regardaient avec des yeux ronds commes des soucoupes.
-C'est qui, lui ?
-Pardon ? Mais c'est qui ELLE ?
Whaou, pas très amical le réveil. Je souffla. Courage, Paige, tu pourras retourner te coucher après.
-Courtney, Harry, un copain. Harry, Courtney, ma meilleure amie.
-Salut. Dirent-ils simultanément.
Courtney détailla Harry, puis sourit en me jetant un regard entendue qui voulait dire: «Pas mal, ton nouveau copain».
-Hé Paiiiiige ! T'es... Oh. Mon. Dieu. PAIGE !
-Hé Court' ! Arrête de crier bon sang !
Ses hurlements nous avait réveiller, Harry et Courtney se regardaient avec des yeux ronds commes des soucoupes.
-C'est qui, lui ?
-Pardon ? Mais c'est qui ELLE ?
Whaou, pas très amical le réveil. Je souffla. Courage, Paige, tu pourras retourner te coucher après.
-Courtney, Harry, un copain. Harry, Courtney, ma meilleure amie.
-Salut. Dirent-ils simultanément.
Courtney détailla Harry, puis sourit en me jetant un regard entendue qui voulait dire: «Pas mal, ton nouveau copain».
-Courtney !
-Tu sais que j'ai raison.
-Tu sais que j'ai raison.
-Absolument pas.
-Shht. Tu verras.
Harry nous regarda tour à tour, l'air dépassé.
-Vous êtes... Étrange. Je vais y aller.
-Harry ! T'es sur que tu veux pas rester ?
-Sur, merci mais... Je... Faut que je.. Règle mes problèmes. Je t'apelle. Dit-il en m'embrassant le front.
Il fit la bise à Courtney et s'en alla en me saluant à travers la fenètre avant de s'éloigner dans la rue. Courntey haussa les épaules, avant de se mettre à crier comme une hystérique en se jetant sur moi, me faisant basculer sur le canapé. J'entendit quelqu'un toquer à la porte et entrer. Cette dernière se mis à pouffer de rire. Je reconnus immédiatement son rire pour l'avoir entendu régulierement depuis quelques temps. Celui de Zayn.
-Malik ?!
-Nan moi c'est Courtney, chérie.
-Paige, je savais pas que tu étais...
-Courtney, pousse-toi ! Non attends Zayn, tu comprends pas, c'est ma meilleure amie !
-Je sais. Je te taquine, Banks ! Ricanais-je.
-Hé, mais c'est qui lui aussi, t'en a combien, hein ?
-Ta gueule Court' !
-Shht. Tu verras.
Harry nous regarda tour à tour, l'air dépassé.
-Vous êtes... Étrange. Je vais y aller.
-Harry ! T'es sur que tu veux pas rester ?
-Sur, merci mais... Je... Faut que je.. Règle mes problèmes. Je t'apelle. Dit-il en m'embrassant le front.
Il fit la bise à Courtney et s'en alla en me saluant à travers la fenètre avant de s'éloigner dans la rue. Courntey haussa les épaules, avant de se mettre à crier comme une hystérique en se jetant sur moi, me faisant basculer sur le canapé. J'entendit quelqu'un toquer à la porte et entrer. Cette dernière se mis à pouffer de rire. Je reconnus immédiatement son rire pour l'avoir entendu régulierement depuis quelques temps. Celui de Zayn.
-Malik ?!
-Nan moi c'est Courtney, chérie.
-Paige, je savais pas que tu étais...
-Courtney, pousse-toi ! Non attends Zayn, tu comprends pas, c'est ma meilleure amie !
-Je sais. Je te taquine, Banks ! Ricanais-je.
-Hé, mais c'est qui lui aussi, t'en a combien, hein ?
-Ta gueule Court' !
-Vous êtes chelou comme meufs vous !
-C'est elle la pire... Qu'est-ce qui t'ammène ici Malik ?
-Les hurlements. Pouffa le métisse.
-Ha ouais..
-Hé. Tu me présente ? Dis Courtney en battant des cils.
Je lui tapa la main,c'est un signe quand l'une ou l'autre de nous vas trop loin. Elle me fis les gros yeux.
-Zayn, Courtney, ma meilleure amie. Courtney, Zayn, mon voisin et ami.
-Enchantée. Sourit Courtney.
-De même. Répondit le métisse.
Nous avions discutés toute la matinée, puis j'ai passé le reste de la journée avec Courtney.
À cette époque tout allait bien avec tout le monde. Puis la rentrée arriva, et tout commenca à, lentement, dériver...
Aujourd'hui c'est la rentrée. Il étais déja 7h15 et je finissais de me préparer quand quelqu'un toqua. La personne entra et monta à l'étage.
-T'es toute nue ? Ria Zayn.-C'est elle la pire... Qu'est-ce qui t'ammène ici Malik ?
-Les hurlements. Pouffa le métisse.
-Ha ouais..
-Hé. Tu me présente ? Dis Courtney en battant des cils.
Je lui tapa la main,c'est un signe quand l'une ou l'autre de nous vas trop loin. Elle me fis les gros yeux.
-Zayn, Courtney, ma meilleure amie. Courtney, Zayn, mon voisin et ami.
-Enchantée. Sourit Courtney.
-De même. Répondit le métisse.
Nous avions discutés toute la matinée, puis j'ai passé le reste de la journée avec Courtney.
À cette époque tout allait bien avec tout le monde. Puis la rentrée arriva, et tout commenca à, lentement, dériver...
Aujourd'hui c'est la rentrée. Il étais déja 7h15 et je finissais de me préparer quand quelqu'un toqua. La personne entra et monta à l'étage.
-Arrête tes conneries et viens m'aider, t'arrive juste au bon moment.
-Que puis-je faire pour toi chère amie ?
-J'arrive pas à remonter la fermture éclaire de ma robe.
Il caressa mon dos dénudé puis attrapa la fermture éclair d'une main tandis qu'il remonta son autre main dans mon dos, puis plaça mes cheveux sur mon épaule droite. Il remonta la fermeture éclair et déposa un baiser dans mon cou. Comme j'étais de dos, il ne pus voir que mon visage étais devenu écarlate, au moins aussi rouge que mon vernis. Comme il continuait à remonter le long de mon cou et commence à s'appprocher dangeuresement de mes lèvres avec ses baisers, je me tourna en lui souriant timidement, les joues en feu. Je le poussa doucement pour aller prendre mon sac de cours qui jonchait au pied mon lit.
-On vas être en retard.
C'est tout ce que je pus dire pour me justifier. nous redescendions puis nous montions dans le voiture sans un mot l'un pour l'autre.
Tout ce passa sous silence jusqu'au moment où nous allions passer la porte de notre classe. Zayn posa sa main sur la poignée de al porte, puis se ravissa. Il tourna la tête vers moi et me regarda, un lueur d'inpuissance et de regret dans les yeux.
-Ecoute Paige... Je suis désolé pour ce qui c'est passé ce matin... Je voulais pas...
-Zayn. C'est pas grave, d'accord ? On oublie tout.
-D'accord, merci.
Nous nous décidions enfin a rentrer et le professeur nous fit nous presenter à la classe, puis nous indiqua nos places. Zayn alla s'assoir à côté d'une fausse blonde platine avec des créoles et deux fois trop de maquillae, tandis j'alla m'installer à côté d'un garçon au cheveux bouclés. Il avait la tête dans ses bras, mais releva la tête quand je posa mon sac au pied du bureau. Quand je le vis, je pus voir ses yeux verts-gris avec des touches de bleus qui pétillait. J'aurais pus reconnaitre ses yeux entre milles.
Harry.
Il souriait comme si il avait prévu son coup depuis des mois. Je détourna du regard en m'asseyant et pus constater que des filles matait sans discrétion Zayn, et que plusieurs garçons me regardaient avec insistance. J'esseya de regarder Harry discrètement. Peine perdu il me fixait déja.
-Salut, moi c'est Harry. Enchanté. sourit le bouclé, narquois.
-Très drole. Qu'est-ce que tu fous là ?
-Je suis en cours, comme tu peux le voir.
-Mais pourquoi tu ne m'as pas dit que tu viendrais ici ?
-Tu ne me l'as pas demandé.
-J'arrive pas à y croire ! Tu savais que j'allais venir ici en plus !
-Oui.
-ET TU M'AS RIEN DIT !
-Non. Je voulais te faire la surprise.
Je me frappai le front avec la paume de main en réprimant un rire. Ce garçon me surprendras toujours.
A l'heure de la pause, je sortie de cours avec Harry, nous avançions dans le couloir quand je vis Zayn discuté avec avec sa nouvelle voisine, la fausse blonde au bout du couloir. Quand il nous vis il ne nous lâcha pas du regard, essayant de l'ignorer j'engagea la conversation avec Harry. Nous allions nous assoir sur un banc quand je sentis une main se poser sur mon épaule. Je me retournais en un sursaut et vis Zayn, les sourcils froncés. Je fis signe à Harry de passer de devant.
-Tu joues à quoi là ?
-Pardon ?
-Qu'est-ce que tu fait avec lui ?
-Pourquoi, t'es jaloux ? Ça te dérange ?
-Jaloux de lui ? Me fais pas rire, s'il te plait.
-Écoute, je suis pas à toi, j'ai le droit d'avoir des amis. Toi t'as nouvelle copine le pot de peinture et mou j'ai mon nouveau copain.
-Paige !
-Quoi ?
-Je... Nan, c'est bon vas rejoindre ton nouveau meilleur copain le mouton.
-Ouais, c'est ça. On se vois ce soir. Bye.
Il s'en alla d'un pas rageur. Le reste de la journée s'était passé calmement. Le soir Zayn et moi nous nous étions réconcilliés puis nous nous étions affalés dans mon canapé en mangeant une pizza.
Sans le savoir, cette première dispute avait enclenché le début de la fin. Des disputes de plus en plus fréquentes et de plus en plus violentes venaient entravé notre amitié qui avait été si parfaite. Je me souviens de ce jour où ce fut vraiment la fin...
J'attendais Zayn sur le perron comme d'habitude. Nous nous étions une fois de plus disputer et je voulais me faire pardonner. 5 minutes. 10 minutes. 15 minutes. Au bout de 25 minutes et 3 clopes, je finis par abandonné. S'il veux faire la paix il n'aura qu'a venir. C'est vrai au fond c'est pas de ma faute si il est jaloux. Au bout de heures, Zayn monta les petites marches du perron.
Accompagné. Par Sarah, cette fausse blonde trop maquillé qui s'accorocais à sa jambe depuis des semaines.
Sous le choc, je restai immobile pendant quelques secondes. Puis ils réapparuent dans le salon du métisse à moitié nus, entrain de s'apirer la bouche. Il ne m'avait pas fallut plus d'une seconde pour me jeter sur les rideaux et les fermer violament. Avant que le rideaux ne se referme je vis le regard de Zayn chercher le mien avec une mine satisfaite.
Alors c'est terminé. Pour de vrai. Après tout ce qu'on a vécu il me laisse tomber. Il veux la guerre ? Il vas l'avoir.
Il vas voir ce que ça fait quand on me cherche.
Trois quarts d'heures plus tars le scris avaient cesser, Sarah était reparti. Et de mon côté, Harry était venu en renfort. Il répétait toutes les cinq minutes «Quel salaud. Il s'est tapé une pouf' alors que tu est 4692 fois mieux qu'elle. Mais quel con ce gars. Quel con !» Ce qui me faisait rire malgré que j'avais plutôt envie de pleurer. Harry a toujours eu ce don de me réconforter et de me faire rire quand j'ai envie de pleurer. Nous avons passés notre soirée à parler et nous nous sommes endormis très tard dans la nuit.
Le lendemain, pendant le petit déjeuner, j'eus une idée brillante pour me vanger de Zayn. J'expliquai tout le dérourlement de mon plan à Harry pendant que nous finissions de nous préparer, il semblait septique.
-Que je joue ton mec ? Paige, c'est puéril comme idée !
-Je sais, je sais. Mais tu le vois faire non ? Il serait capable de se faire toutes les filles du lycée, de la seconde à terminale juste pour me rendre jalouse ! Je te demande juste ça. Puis ce sera amusant.
-Paige, je suis pas sur, comment on vas faire pour le bahut et tout...
-Aller ! En plus tu pourra habiter ici.
-C'est déja presque le cas.
-C'est vrai. Mais quand même.
-Tsss. T'a même pas d'arguments.
-S'il te plaaaaiiiit...
-Bon ok.
-Cooooool ! Danse de la joie !
Harry éclata de rire en essayant de reproduire les pas de ma danse de la joie.
Pendant des semaines, Harry et moi jouions au couple parfait au lycée, et narguions Zayn, qui comme je l'avais prédis se tapait les une après les autres toutes les filles du lycée.
-Je sais, je sais. Mais tu le vois faire non ? Il serait capable de se faire toutes les filles du lycée, de la seconde à terminale juste pour me rendre jalouse ! Je te demande juste ça. Puis ce sera amusant.
-Paige, je suis pas sur, comment on vas faire pour le bahut et tout...
-Aller ! En plus tu pourra habiter ici.
-C'est déja presque le cas.
-C'est vrai. Mais quand même.
-Tsss. T'a même pas d'arguments.
-S'il te plaaaaiiiit...
-Bon ok.
-Cooooool ! Danse de la joie !
Harry éclata de rire en essayant de reproduire les pas de ma danse de la joie.
Pendant des semaines, Harry et moi jouions au couple parfait au lycée, et narguions Zayn, qui comme je l'avais prédis se tapait les une après les autres toutes les filles du lycée.
Un soir, alors que je rentrais seule du lycée, je vis Zayn, assis sur les marches du perron, fumant une cigarette. Quand je m'approcha de l'entrée il releva la tête et me fixa longement. A mon grand étonnement, aucun animosité était présente dans ses yeux, seulement des paillettes qui faisait briller ses pupilles marron si mysterieuses. Il tourna la tête et regarda fixement l'horizon.
-Bonsoir.
-...Bonsoir.
-Je t'attendais.
-Euuh... Moi ?
-Ben oui.
-Ha. Et pourquoi ?
Il se remit à me fixer et sourit. Il me fit signe de m'assoir à ses côtés et me proposa une cigarette. Comme il me fixait toujours dans les yeux, je baissais la tête, gênée, et se remit à regarder l'horizon.
-Tu vois... Ces dernières semaines ont été... Étranges pour moi.
-Étrange ? Tu t'es fait une filles différentes chaque soir et tu trouve ça étrange ?
-Paige. Laisse-moi terminer, j'ai pas fini. Déja que c'est pas facile pour moi...
-Je t'écoute.
-Donc, je disais ces dernières semaines ont étranges pour moi. J'ai du vivre sans ma meilleure amie et la fille que j'aime. Surtout aujourd'hui, le jour de la saint-Valentin, alors je voudrais recoller les morceaux avec toi. Je comprendrais que tu veuille pas me pardonner, c'est vrai que je t'en ai fait baver. Je suis désolé d'avoir été jaloux, possesif. Je suis désolé que ma dignité mon orgeuil est tout gaché après. Et surtout je suis désolé d'avoir couché avec toutes ses filles. Je suis pas comme ça tu sais. Je m'en veux tellement si tu savais...
-Et toi si tu savais depuis quand j'attendais ça ! Zayn, évidament que je te pardonne ! Pour moi aussi c'était dur ces dernières semaines.
-Tu déconnes ? Et Harry ?
-Bah... Tant qu'on est au confidences... Je suis jamais sortie avec Harry. C'est mon meilleur ami et ça ira jamais plus loin. Il était juste là pour te rendre jaloux la journée et me consoler le soir. En plus il a déja une copine !
-Je suis désolé de t'avoir fait tant de mal, mon c½ur.
-Disons qu'on est quitte.
Il me regarda en souriant tristement, les larmes aux yeux. Il me pris dans ses bras en enfouissant sa tête dans mon cou. Comme avant. Je le serrais encore plus fort contre moi en humant son parfum mélangé à l'odeur de menthe et de canelle.
-Tu m'a dis que tu avais perdu ta meilleure amie et le fille que tu aime. Explique-moi. Tu as perdu Sarah ?
-Sarah ? Tu rigoles ? Depuis le début la seule chose que je voulais faire de Sarah c'est la mettre dans mon lit. Il rit. Ma meilleure amie, c'est toi et la fille que j'aime... A mes yeux c'est la plus belle fille que j'ai jamais vu. Elle est blonde aux yeux bleus, elle assez grande mais je la dépasses d'une bonne dizaines de centimètres. Elle est toujours souriante et gentille avec tout le monde. Elle est au lycée. Mais je ne lui ai encore rien dit.
-Elle a l'air parfaite. Parfaite pour toi. Mais tu lui rien dit ? Qu'est-ce t'attends ? Achète lui un bijou, un bouquet de fleurs. Et fonce !
Il me sourit et fonca à l'interieur. Je soupira et tira une latte sur ma cigarette. Le métisse ressortit soudain, des fleurs et une boite noire à la main. Il dévala les escaliers et me regarda. Ses yeux pétillait. Je ne l'avais pas regarder depuis longtemps et j'en avais oublié quel point il était beau. Et ses yeux à tomber. Je me mordis la lèvre quand mon regard s'arreta sur les siennes.
-J'avais besoin de ton avis sur cette fille. Il sourit.
-Je te dis qu'elle est parfaite maintenant: fonce !
-Pourquoi faire ?
Il me laissa pas le temps de répondre et m'embrassa. Il m'enlassa et quand nos lèvres se séparèrent pour chercher de l'air, Il me tendis les fleurs et la boite. Quand je ouvris cette dernière je découvris un collier ou il y était écrit "Dream". Je regarda Zayn les larmes au yeux.
-Parce qu'avec toi je vis un rêve éveillé. Je t'aime.
Je me jettais dans ses bras et l'embrassa. «Moi aussi je t'aime Zayn» lui chuchotais-je.
Aujourd'hui je peut dire que je suis heureuse. Vraiment. Quand j'ai appris la nouvelle à Harry il a rit et il a dit qu'il était sur que nous allions finir ensemble bien qu'il se soit garder de me le dire.
-Bonsoir.
-...Bonsoir.
-Je t'attendais.
-Euuh... Moi ?
-Ben oui.
-Ha. Et pourquoi ?
Il se remit à me fixer et sourit. Il me fit signe de m'assoir à ses côtés et me proposa une cigarette. Comme il me fixait toujours dans les yeux, je baissais la tête, gênée, et se remit à regarder l'horizon.
-Tu vois... Ces dernières semaines ont été... Étranges pour moi.
-Étrange ? Tu t'es fait une filles différentes chaque soir et tu trouve ça étrange ?
-Paige. Laisse-moi terminer, j'ai pas fini. Déja que c'est pas facile pour moi...
-Je t'écoute.
-Donc, je disais ces dernières semaines ont étranges pour moi. J'ai du vivre sans ma meilleure amie et la fille que j'aime. Surtout aujourd'hui, le jour de la saint-Valentin, alors je voudrais recoller les morceaux avec toi. Je comprendrais que tu veuille pas me pardonner, c'est vrai que je t'en ai fait baver. Je suis désolé d'avoir été jaloux, possesif. Je suis désolé que ma dignité mon orgeuil est tout gaché après. Et surtout je suis désolé d'avoir couché avec toutes ses filles. Je suis pas comme ça tu sais. Je m'en veux tellement si tu savais...
-Et toi si tu savais depuis quand j'attendais ça ! Zayn, évidament que je te pardonne ! Pour moi aussi c'était dur ces dernières semaines.
-Tu déconnes ? Et Harry ?
-Bah... Tant qu'on est au confidences... Je suis jamais sortie avec Harry. C'est mon meilleur ami et ça ira jamais plus loin. Il était juste là pour te rendre jaloux la journée et me consoler le soir. En plus il a déja une copine !
-Je suis désolé de t'avoir fait tant de mal, mon c½ur.
-Disons qu'on est quitte.
Il me regarda en souriant tristement, les larmes aux yeux. Il me pris dans ses bras en enfouissant sa tête dans mon cou. Comme avant. Je le serrais encore plus fort contre moi en humant son parfum mélangé à l'odeur de menthe et de canelle.
-Tu m'a dis que tu avais perdu ta meilleure amie et le fille que tu aime. Explique-moi. Tu as perdu Sarah ?
-Sarah ? Tu rigoles ? Depuis le début la seule chose que je voulais faire de Sarah c'est la mettre dans mon lit. Il rit. Ma meilleure amie, c'est toi et la fille que j'aime... A mes yeux c'est la plus belle fille que j'ai jamais vu. Elle est blonde aux yeux bleus, elle assez grande mais je la dépasses d'une bonne dizaines de centimètres. Elle est toujours souriante et gentille avec tout le monde. Elle est au lycée. Mais je ne lui ai encore rien dit.
-Elle a l'air parfaite. Parfaite pour toi. Mais tu lui rien dit ? Qu'est-ce t'attends ? Achète lui un bijou, un bouquet de fleurs. Et fonce !
Il me sourit et fonca à l'interieur. Je soupira et tira une latte sur ma cigarette. Le métisse ressortit soudain, des fleurs et une boite noire à la main. Il dévala les escaliers et me regarda. Ses yeux pétillait. Je ne l'avais pas regarder depuis longtemps et j'en avais oublié quel point il était beau. Et ses yeux à tomber. Je me mordis la lèvre quand mon regard s'arreta sur les siennes.
-J'avais besoin de ton avis sur cette fille. Il sourit.
-Je te dis qu'elle est parfaite maintenant: fonce !
-Pourquoi faire ?
Il me laissa pas le temps de répondre et m'embrassa. Il m'enlassa et quand nos lèvres se séparèrent pour chercher de l'air, Il me tendis les fleurs et la boite. Quand je ouvris cette dernière je découvris un collier ou il y était écrit "Dream". Je regarda Zayn les larmes au yeux.
-Parce qu'avec toi je vis un rêve éveillé. Je t'aime.
Je me jettais dans ses bras et l'embrassa. «Moi aussi je t'aime Zayn» lui chuchotais-je.
Aujourd'hui je peut dire que je suis heureuse. Vraiment. Quand j'ai appris la nouvelle à Harry il a rit et il a dit qu'il était sur que nous allions finir ensemble bien qu'il se soit garder de me le dire.
This is the end...